L’épisode pluvieux actuel ne devrait pas changer structurellement les choses. La sécheresse est attendue cet été pour la quatrième année consécutive. Le ministère français de la Transition divulgue la carte des départements concernés.
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Les moulins à eau sont de plus en plus asséchés ou détruits pour permettre aux poissons migrateurs de continuer leur route. Mais des solutions existent pour préserver le patrimoine et la biodiversité. C’est sur ce sujet que se penche une émission de Franceinfo du 10.05.2021
Les associations écologistes veulent détruire les obstacles artificiels pour restaurer la « continuité écologique » des rivières. Une vision de l’environnement remise en question par les défenseurs des moulins et les partisans de l’hydroélectricité, qui ont eu gain de cause à l’Assemblée nationale.
Produire de l’électricité lorsqu’elle génère le plus de revenus ou pour stabiliser le réseau électrique, tel a toujours été le principe commercial des centrales à accumulation. Les petites centrales hydroélectriques des Alpes veulent désormais imiter les grandes. Le projet SmallFlex financé par l’OFEN a démontré que c’était possible.
Si aucune pénurie générale n’est à déplorer, l’eau peut se raréfier selon les régions et les saisons. À l’inverse, les pluies deviennent plus abondantes et les inondations, localement plus fréquentes. Tels sont les constats qui ressortent des résultats du projet Hydro-CH2018 sur le cycle hydrologique, publiés le 16.03.2021. Ces recherches approfondies ont été menées sous la direction de l’Office fédéral de l’environnement (OFEV) dans le cadre du National Centre for Climate Services (NCCS). À l’avenir, les changements climatiques entraîneront une modification de la gestion de l’eau.
Après une version 2020 en ligne, les « retrouvailles » avec la conférence germanophone Anwenderforum Kleinwasserkraftwerke auront lieu à Brixen (Italie) les 7 et 8 octobre 2021 autour d’un nouveau concept.
Soumission des contributions à la conférence
Vous êtes invités à soumettre des résumés sur les principaux sujets suivants :
La conférence comprendre une exposition et offre des possibilités de sponsoring intéressantes.
Le 20 avril 2021, la Commission de l’environnement du Conseil national a adopté un projet visant à remplacer le système de rétribution de l’injection, en vigueur jusqu’à fin 2022, par des contributions d’investissement pour tous les types d’installation. Cette solution transitoire doit permettre d’éviter des lacunes dans le dispositif d’encouragement en attendant l’entrée en vigueur d’une plus large révision de la législation sur l’énergie.
Les instruments d’encouragement continueront d’être financés au moyen du supplément perçu sur le réseau, dont le montant restera inchangé (2,3 ct./kWh).
Depuis le 27 avril, le Département fédéral de l’environnement, des transports, de l’énergie et de la communication (DETEC) mène une consultation sur le projet de révision partielle de plusieurs ordonnances: sur l’énergie (OEne), sur les installations à basse tension (OIBT), sur les exigences relatives à l’efficacité énergétique (OEEE), sur l’encouragement de la production d’électricité issue d’énergies renouvelables (OEneR), sur la garantie d’origine et le marquage de l’électricité (OGOM), sur les matériels électriques à basse tension (OMBT).
La procédure de consultation durera jusqu’au 13 août 2021. Il est prévu que les ordonnances révisées entrent en vigueur début 2022.
Afin de soutenir les experts dans la planification conceptuelle et la mise en œuvre du contrôle biologique des effets et de standardiser le contrôle des effets pour le processus d’apprentissage, on trouvera sur la plateforme Renaturation des modèles, créés en coopération avec un groupe d’experts, pouvant servir de guides.
Le Département fédéral de l’environnement, des transports, de l’énergie et de la communication (DETEC) fixe, pour l’année 2021, le coût moyen pondéré du capital (WACC) pour les investissements dans les installations de production qui exploitent des énergies renouvelables. Les taux du WACC restent inchangés par rapport à 2020, c’est-à-dire de 4.98 % pour la petite hydraulique.