Smart Water – conférence – Digitalisation des aménagements hydroélectriques

Dédiée à la thématique de l’eau et de sa digitalisation, la conférence Smart Water du 01.12.2022, organisée au Châble (VS), par le Pôle d’innovation BlueArk Entremont, comprend un sujet spécifique au domaine de l’hydroélectricité avec notamment un workshop l’après-midi lié à la digitalisation des aménagements hydroélectriques animé par le Hydro Alps Lab.

Plus d’informations : https://smartwater.swiss/

France HydroElectricité – « Mobilisez-vous pour l’avenir de l’hydro ! »

Dans un mail à ses adhérents du 7 novembre 2022, repris pour partie ci-après, le syndicat français France Hydro Electricité (FHE) lance cet appel: « Mobilisez-vous pour l’avenir de l’hydro ! ». Cet appel ne se limite pas à la France. Nous pouvons également y répondre en ajoutant notre contribution à la fin de la page de la concertation lancée par le gouvernement français. Car en Suisse aussi, nous avons besoin de développer tous les projets de petite hydraulique, et notamment de faire tomber les limites inférieures de puissance. « Chaque kWh compte! ».

Le gouvernement français lance, du 20 octobre au 31 décembre 2022, une concertation publique sur l’avenir du mix énergétique français. Cette concertation s’inscrit en amont de la révision de la Stratégie française sur l’énergie et le climat, prévue d’ici à 2024, et de la future loi de programmation, qui déclinera les grands objectifs en matière de politique énergétique et climatique. Les orientations qui seront exprimées par les citoyens durant la concertation seront importantes, car elles seront versées au débat parlementaire sur la future loi de programmation sur l’énergie et le climat qui sera adoptée en 2023.

Le lien pour la concertation: https://concertation-strategie-energie-climat.gouv.fr/27-le-developpement-de-lhydroelectricite

Depuis le lancement de la consultation, plus de 420 contributions ont été enregistrées concernant l’hydroélectricité. FHE a analysé ces réponses (au 03.11.22) :

  • 20 % des votants ne veulent plus de développement et préfèrent se limiter à optimiser l’existant,
  • 50 % se prononcent en faveur d’un développement des projets au potentiel significatif ou présentant une sensibilité environnementale quasi-nulle,
  • 30% sont favorables au développement de tous les projets, quelle que soit leur puissance.

Il est essentiel que la filière se mobilise pour répondre à cette consultation et soutienne le développement de l’hydro. 

Trois grandes questions sont ouvertes au public auxquelles vous pouvez répondre en intégralité ou seulement apporter votre contribution sur le thème et la question de votre choix :

  • Thème 1 : Comment adapter la consommation pour atteindre la neutralité carbone en 2050,
  • Thème 2 : Comment satisfaire les besoins en électricité et en énergie tout en assurant la sortie de la dépendance aux énergies fossiles,
  • Thème 3 : Comment planifier, mettre en œuvre et financer la transition énergétique.

Comment soutenir le développement de l’hydroélectricité ?

Le thème 2 aborde le développement de chaque filière d’énergie renouvelable, et celui de l’hydroélectricité en particulier (thème 2.7). La consultation se présente sous la forme d’une question à 3 réponses et d’une contribution libre de 6000 caractères max.

En plus des installations de production et de stockage hydrauliques existantes, faut-il selon vous (1 réponse au choix) ?

  1. Se limiter à optimiser l’existant, car il n’apparaît pas opportun de développer de nouveaux projets ;
  2. Optimiser l’existant et, concernant de nouveaux sites, aménager uniquement ceux dont le potentiel est significatif ou ceux présentant une sensibilité environnementale quasi-nulle ;
  3. Développer tous les projets hydroélectriques, y compris les très petites installations pour maximiser les capacités installées, et y compris les projets plus coûteux, tout en essayant de limiter les impacts environnementaux.

Il apparait à FHE que la formulation de la réponse 3 est tendancieuse et incite les contributeurs non avertis à opter pour la réponse 2 qui semble plus « raisonnable », moins coûteuse et plus acceptable d’un point de vue environnemental.

>> Ainsi, plus de 50% des contributeurs ont opté pour la réponse 2

Si la majorité des réponses s’oriente vers le choix 2, cela laisse présager pour l’avenir d’un développement de l’hydroélectricité plus contraint encore qu’aujourd’hui, exclusivement porté sur des installations de grandes puissances et confronté à  des exigences environnementales encore plus démesurées.

FHE nous invite donc vivement à participer à cette consultation publique et nous incite à privilégier la réponse 3. Ceci afin d’orienter le gouvernement vers le choix d’un développement de l’hydroélectricité sans restriction de puissance d’installation et sur la base des exigences environnementales existantes.

Si nous souhaitons compléter notre réponse d’une contribution libre en faveur de l’hydroélectricité, FHE soumet ci-après une liste d’arguments à reprendre librement.

L’hydroélectricité représente une source d’énergie essentielle dans la lutte contre le changement climatique :

  • bas carbone : elle émet très peu de CO2, environ 10g CO2/kWh (contre 466 g pour les centrales à gaz et 1046 g pour les centrales à charbon),
  • respectueuses de l’environnement : les centrales hydroélectriques sont aménagées pour préserver la biodiversité des rivières et assurer la continuité écologique,
  • pas de consommation d’eau : l’eau déviée pour produire de l’électricité est restituée au cours d’eau. L’hydro ne rejette pas de polluants ni dans l’eau ni dans l’air et ne recourt pas à des matériaux rares.

Les petites centrales hydroélectriques présentent un intérêt pour le réseau électrique et pour accompagner le développement plus massif d’énergies renouvelables plus variables. Le développement de petites unités de production est justifié et pertinent car :

  • 9 français sur 10 y sont favorables : les projets hydroélectriques sont plébiscités par les riverains localement (Sondage Ifop pour le SER – Oct. 2021),
  • une énergie de proximité, en circuit court : l’hydroélectricité contribue à l’échelle des territoires à l’autonomie énergétique des villes et villages mêmes reculés. Elle fait notamment appel à une main d’oeuvre locale dans les territoires ruraux et de montagne. De plus, les producteurs d’hydro contribuent aux finances locales au travers des taxes et redevances locales,
  • une énergie stockable, flexible, prévisible et complémentaire des autres énergies renouvelables plus variables : la petite hydro a un potentiel de modulation comparable aux batteries. A l’échelle d’une vallée équipée de photovoltaïque par exemple, la petite centrale hydro est un outil de flexibilité significatif par modulation en actif et en réactif.

 

OFEN – Réserve d’hiver

Pour prévenir une pénurie d’électricité lors de l’hiver, le Conseil fédéral a pris diverses mesures: la réserve hydroélectrique, la construction d’une centrale de réserve à gaz à Birr (AG), la mise à disposition d’autres centrales de réserve et de groupes électrogènes de secours, l’augmentation des capacités sur le réseau de transport d’électricité, le mécanisme de sauvetage destiné aux entreprises du secteur de l’électricité d’importance systémique, l’abaissement temporaire des débits résiduels ainsi que la campagne d’économies d’énergie notamment.

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Formation en ligne de petite hydraulique française

L’ASDER (Association Savoyarde de Développement des Énergies Renouvelables) propose une formation en ligne intitulée « Comment bien accompagner un projet de micro hydroélectricité dans un ancien moulin? ». Après une première session qui a eu lieu sur deux matinées en octobre 2022, une nouvelle édition est prévue en janvier 2023, qui aura lieu également en ligne.

Les objectifs de cette formation destinées aux personnes susceptibles d’être en contact avec des porteurs de projet, plutôt en France (et en particulier, des collectivités, municipaux,  …):

  • connaître le fonctionnement théorique d’un moulin et son cadre réglementaire en France (régime d’autorisation, droit Fondé en Titre…)
  • Saisir les enjeux économiques du projet
  • Identifier les grandes étapes par lesquelles passe le porteur de projet (aléas des notions de durée ainsi que les flux financiers qui le soutiennent)
  • Découvrir les aides possibles existantes ainsi que la cartographie des acteurs (type, rôles, pouvoir)

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OFEV- nouvelles publications sur l’assainissement écologique de la force hydraulique

Le site web de l’Office fédéral de l’environnement (OFEV) regroupe de nombreuses publications sur le thème de l’assainissement de la force hydraulique. Une sélection de cinq documents vous est proposée ci-dessous. D’autres sont disponibles, notamment à la page dédiée à la migration des poissons.

Rétablissement de la migration du poisson – Bonnes pratiques pour les centrales hydroélectriques en Suisse

Lors de son cycle de vie, le poisson effectue des migrations vers l’amont et vers l’aval le long des cours d’eau. Le maintien de ce continuum longitudinal constitue une condition déterminante pour la survie des populations piscicoles. Disponible en français et en allemand, le présent document, édité en 2022, explicite la problématique et contient une série de recommandations visant à rétablir la libre migration du poisson au droit d’ouvrages hydroélectriques. Il focalise l’attention sur les éléments clés à prendre en considération lors de la construction d’un ouvrage de franchissement et présente quelques réalisations concrètes qui peuvent être considérées comme des exemples de «best-practice».

Pour télécharger le document en français

Restauration de la migration des poissonsGuide du contrôle d’efficacité des mesures d’assainissement

Disponible en français et en allemand, le manuel, édité en 2017, décrit la procédure pour la mise en œuvre des contrôles d’efficacité qui doivent prouver que les centrales hydroélectriques ayant été assainies écologiquement ont effectivement réduit les atteintes à la migration des poissons.

Pour télécharger le document en français

Evaluation de sites pilotes potentiels pour des passes à poissons à bassin circulaire – Rapport technique

Au total, plus de 100’000 obstacles artificiels à la migration d’une hauteur de chute supérieure à 50 cm entravent la libre circulation des poissons en Suisse. La question se pose donc de savoir comment rétablir la libre migration des poissons de la manière la plus efficace et la plus rentable possible. La passe à poissons à bassins circulaires (RBP pour « Rundbeckenfischpass ») (désignation du fabricant : Mäanderfischpass ou passe à poissons à méandres) pourrait être une méthode de construction appropriée pour la montaison. La RBP est une construction de passe à fentes qui se caractérise par l’utilisation exclusive d’éléments circulaires et lisses. Uniquement disponible en allemand, le rapport, qui date de février 2021, traite également des questions encore en suspens concernant le fonctionnement et le potentiel de ce concept.

Pour télécharger le rapport en allemand

Procédure possible en cas d’effets cumulatifs sur les centrales hydroélectriques et leurs conséquences sur les populations de poissons

Le rapport traite des effets cumulatifs lors de la dévalaison des poissons sur plusieurs centrales. Même de faibles taux de mortalité dans certaines centrales peuvent avoir des répercussions importantes sur les populations de poissons. Afin de mettre en évidence les mesures à prendre au niveau des différentes centrales, deux approches différentes sont présentées pour le calcul de la mortalité au niveau des installations individuelles (état actuel) et leurs avantages et inconvénients sont discutés.

Pour télécharger le rapport en allemand

Puçage dans le Haut-Rhin

Le rapport traite de la procédure et des expériences faites dans le cadre d’études sur la migration des poissons à l’aide de la méthode des transpondeurs (puces) pour les animaux (« Pit-Tagging » en allemand).

Pour télécharger le rapport en allemand

A la radio: Ton moulin va trop vite ! L’énergie par vents et par eaux

Le 17 octobre 2022, France Culture consacrait une émission spéciale sur les Moulins à eaux et à vents avec un historien et un ingénieur, dans une série de 4 épisodes sur l’histoire de l’énergie dans le « Cours de l’histoire ».

« […] Pour l’historien Mathieu Arnoux, « le moulin est par définition seigneurial parce qu’il organise un énorme marché, celui de la consommation de grains. Cependant, il est absolument interdit à un seigneur, du fait qu’il aurait un moulin, de s’amuser à noyer les moulins qui seraient en amont du sien. Ainsi, la rivière impose une discipline collective qui a pour principe l’utilité de l’ensemble des habitants. »

[…]

Si les moulins hydrauliques peuvent se révéler très rentables, ce sont néanmoins des machines vulnérables face à la sécheresse, au gel, aux crues, et qui peuvent rapidement cesser de fonctionner. Il est pourtant essentiel de moudre du grain et de produire de la farine, puisque la subsistance des populations en dépend. Les moulins nécessitent également des opérations d’aménagement du territoire importantes, notamment d’endiguement et de détournement des cours d’eau, qui permettent à la fois d’accroître le niveau et le débit des cours d’eau et de protéger les moulins des épisodes de crue.

[…]

Les moulins ne servent pas seulement à moudre du grain, mais peuvent aussi produire de l’huile, du sucre, du sel, ou des textiles, grâce aux moulins à foulon. Les moulins ont également des usages industriels, l’huile étant un combustible d’éclairage essentiel, mais aussi parce qu’ils permettent de scier du bois, de broyer des minerais ou de produire du papier. Dans le cadre d’une politique de gestion hydraulique, le moulin peut jouer un rôle déterminant dans les opérations de drainage et d’irrigation – ce qui explique qu’on en trouve tant aux Pays-Bas. Plus récemment, les éoliennes comme les turbines ont permis de produire de l’électricité.

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Beau livre: Il y a de l’électricité dans l’eau

« Au début du XXe siècle, dans la rurale Gruyère, de plus en plus de familles s’équipent du nec plus ultra des appareils ménagers : fers à repasser électriques, cuisinières électriques, ampoules électriques. La demande est telle que la production de la « fée électricité » devient un problème de société. En pleine Première Guerre mondiale, le canton de Fribourg décide de tirer profit de la houille blanche de la vallée de la Jogne. En moins de trois ans, plus de 700 ouvriers construisent l’un des premiers barrages-voûtes en Europe. Malgré plusieurs décès sur le chantier et des surcoûts importants, la retenue est mise en service au printemps 1921.

Avec ses quelque 50 mètres de haut et sa longueur de couronnement de 110 mètres, le barrage-voûte de Montsalvens est le premier barrage arqué de cette dimension jamais construit en Suisse. Actuellement, à raison de 67 gwh (gigawatt-heure) de production annuelle, il fournit en énergie de pointe l’équivalent de 15’000 ménages. Outre cette prouesse technique, cette œuvre monumentale réserve également de belles promenades dans la région, s’insérant à la perfection dans le concept de « tourisme doux » qu’il est toujours plus important de promouvoir.

(Il y a) de l’électricité dans l’eau raconte, au fil de recherches inédites et de nombreuses images anciennes et contemporaines, l’histoire de ce lac artificiel, avec ses balades en canot, ses actes de bravoure, sa trépidante vie sous-marine ou son influence sur les peintres de la région. Et pour terminer et célébrer la beauté des lieux, les photos magnifiques de deux photographes professionnels (Elise Heuberger et Roggo), accompagnées de celles prises par les lauréat-e-s du concours photographique organisé pour l’occasion. »

 

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Communiqué de presse – SSH lancera en décembre 2022 l’initiative populaire « Chaque kilowattheure compte »

Saint-Gall / Saillon, 30 septembre 2022

Swiss Small Hydro lancera en décembre 2022 l’initiative populaire « Chaque kilowattheure compte »

Depuis fin 2021, Swiss Small Hydro prépare l’initiative populaire « Chaque kilowattheure (indigène et renouvelable) compte ! ». Les négociations parlementaires en cours sur la loi fédérale relative à « un approvisionnement en électricité sûr reposant sur des énergies renouvelables » (ou « Mantelerlass ») montrent que divers éléments de cette initiative populaire sont déjà pris en compte. Mais des freins importants subsistent – raison pour laquelle la collecte de signatures sera lancée en décembre 2022.

Swiss Small Hydro est positivement étonnée et satisfaite de la portée du projet « Mantelerlass » du Conseil des Etats, face, notamment, à l’assouplissement controversé de la protection absolue des biotopes ou des zones protégées. Il est important que l’objectif de protection proprement dit soit maintenu – et qu’alors, une utilisation soit également possible.

Cependant, le projet de loi comporte encore des freins importants. Ainsi, il stipule que ni la rénovation ni l’agrandissement de centrales hydroélectriques d’une puissance inférieure à 300 kW ne doivent être encouragés, tout comme la construction de nouvelles centrales hydroélectriques d’une puissance inférieure à 1 MW. Avec le maintien de ces limites inférieures de puissance, d’une part, des centrales hydroélectriques telles celle de Beckenried, récemment assainie écologiquement, disparaîtraient à moyen terme ; et, d’autre part, seule une part insuffisante du potentiel hydroélectrique décentralisé, réparti majoritairement sur le semestre d’hiver, pourrait être exploitée. Selon l’interpellation 21.3201, il s’agirait d’une perte de production annuelle d’électricité d’au moins 1’000 gigawattheures. Pour Swiss Small Hydro, c’est une raison suffisante pour maintenir le lancement de l’initiative populaire.

Le « Mantelerlass » va cette fois être soumis au Conseil national. On peut s’attendre à ce que celui-ci procède à diverses adaptations. De plus, il est fort probable qu’un référendum soit lancé à la fin des débats parlementaires et que le projet soit soumis à une votation populaire à l’été 2023. Swiss Small Hydro considère donc son initiative populaire comme un « plan B » permettant d’ancrer dans la Constitution l’objectif fondamental d’un approvisionnement énergétique essentiellement renouvelable. Cet ancrage dans la Constitution est capital pour Swiss Small Hydro, car c’est le seul moyen de garantir une pesée équilibrée des intérêts.

 Liens:

Contacts:

www.swissmallhydro.ch

Twitter: @swisssmallhydro #konsequentErneuerbar #SchutzUndNutzung

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Réduire les débits résiduels pour plus de production hivernale? SSH reste critique

Des propositions visant à réduire les débits résiduels pendant l’hiver sont actuellement en cours de discussion. Il devrait en résulter une production supplémentaire de 150 GWh.

Swiss Small Hydro est critique à l’égard de cette proposition. Les cours d’eau sont déjà fortement sollicités en raison de l’été extrêmement sec et tout facteur de stress supplémentaire – comme par exemple la réduction des débits résiduels – est délicat. La mise en œuvre implique des défis techniques qui comportent des risques supplémentaires. De plus, cette mesure n’apporte même pas un sixième de la production qui pourrait être obtenue par une exploitation durable des potentiels de petite hydraulique encore disponibles en Suisse.

Formation en ligne de petite hydraulique

L’ASDER (Association Savoyarde de Développement des Énergies Renouvelables) propose une formation en ligne intitulée « Comment bien accompagner un projet de micro hydroélectricité dans un ancien moulin? ».

En effet, à l’heure des crises de l’eau et de l’énergie, les moulins représentent un modèle de sobriété et de résilience, présent dans chacun de nos villages. Or pour franchir les étapes qui permettront de valoriser cette énergie, le parcours technique et administratif peut s’avérer complexe!

La première session aura lieu pendant les matinées des Mardis 18 et 25 octobre (en ligne – nombre de participants limité).

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